Project Description

Fécondité – Réparation

Une Tikoun selon la Kabbale – dans une situation où l’espérance au bonheur se fait attendre et où il semble que quelque chose de palpable interfère et la retarde.

Le désir de continuité, d’engendrer représente un des désirs les plus fondamentaux de tous les êtres au monde. C’est une volonté existentielle d’apporter une nouvelle vie sur terre, une vie qui va nous permettre de perpétuer.

Tout juif souhaite et prie pour qu’il poursuive la tradition et l’héritage de ses ancêtres. Des garçons et des filles qui vont remplir la maison de jubilation. Des enfants à qui nous pourrons transmettre ce que nous avons nous-mêmes reçu : la sagesse et l’expérience de la vie. Modeler leur personnalité et les éduquer dans le bon et droit chemin.

Que faire quand cela n’arrive pas ? Pourquoi certaines personnes patientent, espèrent et attendent – mais les enfants ne viennent pas ?

Hélas nous n’avons pas la capacité de comprendre tous les mauvais décrets de ce monde.

« Les comptes du Ciel » ne sont pas les comptes des êtres humains. Dans la Kabbale il est dit que parfois il y existe des retards liés à des questions d’ordre spirituel, à des sphères célestes, à des actions passées qui ont eu une très grande influence. Si importante qu’elle est à l’origine de ce grand retard à obtenir des enfants.

Dans de nombreux cas, il existe des « sentences difficiles » et des décrets arrêtés qui font parfois penser que les portes du ciel sont verrouillées.
Certaines personnes dans la situation décrite n’ont pas le mérite ou la capacité d’être un réceptacle pour faire descendre une vie, pour diverses raisons. Parfois, ces raisons sont plutôt positives – comme lorsqu’il s’agit d’amener une âme particulière.

Dans une telle situation, il est conseillé de faire une réparation pour une « descendance qui subsiste ».

S’adresser à un grand rav pour faire le nécessaire et réparer la racine des âmes du père et de la mère. Pour aider à supprimer les obstacles spirituels qui entravent l’arrivée de ce grand bonheur.

Une réparation qui par son mérite, peut-être, permettra enfin d’entendre dans votre maison, la voix des cris d’un bébé qui sera le vôtre.

Les rabbanim et les mékoubalim qui procèdent à la réparation.